dimanche 15 mars 2009

Vénerie de mars 2009

Une saga familiale qui fait honneur à la vénerie moderne.

Laissons-les faire de Jean, Alain, Philippe, Pierre et Marc de Roüalle:
«L'histoire, racontée par les protagonistes eux-mêmes, des amours passionnées d'un père, de ses fils, et de ses petits-fils, pour la seule, l'unique et la vraie vénerie. (...) Il faut ajouter que c'est un très beau livre, qui ne vaut pas seulement par la qualité du propos, mais séduit tout autant par la tenue de l'édition. De plus, on prend autant de plaisir à feuilleter l'ouvrage pour le regarder qu'à le lire.»

Sur la voie du chevreuil de Bernard Pignot:
«Quel régal que cette galerie de portraits de personnages, truculents vivant dans un milieu rural aujourd'hui disparu sous l'influence néfaste des rurbains. On les penserait sortis tout droit d'un roman de Maupassant, de La Varende ou de Genevoix. (...) Nous sommes persuadés que tous passeront un excellent moment à lire l'ouvrage de Bernard Pignot.»

Vautrait du Perche de Sébastien Cotreuil:
«Les livres sur la vénerie du sanglier sont rares. Sébastien Cotreuil a saisi l'occasion du 60e anniversaire pour écrire l'histoire du Vautrait de Perche issu du prestigieux Vautrait Falandre, et qui reste, à juste titre, une référence parmi les vautraits existants, et un exemple pour ceux qui se créent. Après avoir replacé le vautrait sans l'histoire de la vénerie normande, l'auteur rappelle les soixante saisons passées à travers les hommes: les Levesques et les Larivière, les chiens dont le fameux Quiberon et les chenils.»

«Les textes publiés reprennent de nombreuses informations du colloque de Saumur «cheval de chasse», bien que les conditions techniques n'aient pas permis de réaliser des «actes» dans le sens habituel du terme. PW. O'Malley en spectateur averti, retrace dans ce document d'une centaine de pages les temps forts des ces journées saumuroises.»

Quand le cerf perd la tête de Jean-Paul Grossin:
«Le festival du film «Nature» de Namur, qui s'est déroulé au mois d'octobre dernier en Belgique a décerné le Prix du Public, dans la catégorie «professionnel» au film Quand le cerf perd la tête, réalisé par Jean-Paul Grossin. (...) Les spectateurs ont été enthousiasmés par le souffle et les frissons engendrés par un mariage réussi entre l'image rare et sa sublime musique.»

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