Un jour je mangerai du pain blanc et je chasserai le cochon de Guy Dutron:«Les Ardennnes, à cheval sur la frontière franco-belge, petite paysannerie, 1er conflit mondial. Lui, le héros, jeune, ancien braco, contrebandier toujours, chasseur malin, bosseur, toujours prêt, un vrai scout. Il se dégage de cette histoire un parfum d'eden, les accents sont quasi pagnolesques. Un jolie roman bonhomme.»
La vénerie en Anjou, de Dagobert à nos jours de Charles Valentin-Desormeaux:
«Voici un ouvrage «savant» comme on en fait plus. Publié pour la première fois en 1952, et non republié depuis, ce livre conte l'épopée de la vénerie dans l'un de ses bastions, l'Anjou. L'abondance et la qualité des illustrations de Benois-Gironière, dessinateur cynégétique - et hippique - de l'Ouest non suffisamment reconnu. au final, un bel ouvrage qui ravira les Angevins ainsi que les amateurs d'histoire cynégétiques.»
Chasse aux mangeurs d'hommes de John Taylor:
«Chasseur professionnel, l'homme se paye sur l'ivoire, et cela avec d'autant plus de plaisir que l'éléphant est un tueur d'homme, comme le sont les lions, léopards, crocos et buffles. Un gars de terrain non pas un Tartarin. Lequel insiste à de multiples reprises sur la «prémonition», «l'intuition» qui lui permettent de deviner la présence des bêtes assassines dans son dos. Saisissant !»
La chasse au Moyen-Âge de Lucien-Jean Bord et Jean-Pierre Mugg:
«Voilà un beau sujet vaste, que nos deux auteurs ont eu le courage de traiter. Néanmoins, nous avons le sentiment que nous stationnons au milieu du gué. Le format poche et la mise en page n'aident pas à la lisibilité, la pauvreté des illustrations en noir et blanc, se fait cruellement ressentir. On passera sur les renvois aux notes qui hachent la lecture. Cela dit la somme de savoirs rassemblés.»
Les chasses au petit gibier de Vilatte des Prugnes:
«Vous avez une saison pour vous préparer à cette chasse authentique et quand vous aurez commencé, vous ne pourrez plus vous arrêter. Ces oiseaux qui vont de la bécasse à l'alouette et qui sont chassé le plus souvent à la rencontre et qui méritent mieux que d'être tirés par hasard. Ces oiseaux que peu d'entre nous connaissent sont magnifiques, difficiles et surtout sauvages, loin des oiseaux ventrus 18 carats nourris au pot belges. Partez à la recherche de ce livre, il y à tout dedans, même des recettes excellentes.»
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